-
-
-
Par frederic.a le 8 Mars 2010 à 15:40jeudi 11 Mrs 2010 a 16h30
auras lieu une réunion a l'ecole Emile-LESSOT A
venez nombreux
Agrandir le plan
votre commentaire -
Par frederic.a le 8 Mars 2010 à 15:03
-
après avoir été avertis que l'une des maitresse allez passer une épreuve dans sa classe
nous avons décidez avec certain parents de bloquer l'accès aux examinateurs
nous avons mis des chaines aux portes,les enfants ont ete en cours je tiens a le preciser
-
Monsieur Jean Sannier Inspecteur de l’Education
Nationale Adjoint à l’Inspecteur d Académie accompagner d'autres personne sans est vus refuser l'accès il en est repartis mécontent et fâcher.....
-
grâce à cet action nous avons réussi malgré sont arrogance, a lui faire savoir qu'il été pas le bienvenus dans notre école vus la position que prenais l'Éducation national a l'égard de nos enfants et de nos enseignants
Frédéric.A
votre commentaire -
-
Par frederic.a le 7 Mars 2010 à 08:45Dimanche 07 Mars 2010
AMIENS Dans la rue contre la carte scolaire
Une petite centaine d'enseignants et de parents d'élèves ont manifesté samedi après-midi, bien décidés à continuer la lutte contre la baisse des moyens et les fermetures de classes.
Face à face. Pendant plus d'une heure, les enseignants et les parents d'élèves qui manifestaient, samedi après-midi, contre la nouvelle carte scolaire dans le département (50 classes supprimées) ont été bloqués par un cordon de police, rue de la République. Ce qui ne les a pas empêchés de faire du bruit, beaucoup de bruit, et de répéter en boucle leur slogan, « non aux suppressions, priorité à l'éducation » pendant qu'une délégation de l'intersyndicale était reçue en préfecture.
À Amiens, les fermetures touchent particulièrement les établissements en zone d'éducation prioritaire (ZEP). Comme à l'école Schweitzer, concernée par la perte d'une classe et de deux demi-décharges de direction, et à Lesot A et B, affectée par une baisse des temps de décharge. Les parents d'élèves sont là particulièrement mobilisés. « Nous avons commencé avec une dizaine de personnes dans une petite salle, aujourd'hui, nous sommes 40 », explique Frédéric Andrieux, le porte-parole des parents d'élèves des écoles Schweitzer A et B. Après être allé vendredi soir manifester devant le domicile du recteur d'académie, ce papa était encore dans le cortège, samedi après-midi. Il a créé un blog « pour que les gens ne restent pas tout seuls dans leur coin et se redonner des forces. Nous avons déjà des messages d'autres écoles et même de Boves, qui n'est pourtant pas concerné par la réduction des moyens ».
Toujours à Amiens, le quartier Etouvie serait affecté en septembre par la fermeture de deux classes, des suppressions de postes au collège, la perte de décharges de direction et la suppression du poste de rééducateur du Rased (réseau d'aide aux enfants en difficulté). « Un rouage important dans nos écoles puisqu'il intervient auprès des enfants qui ont des problèmes de comportement », explique Brigitte Descamps, une des directrices d'école. À Etouvie, les parents d'élèves sont eux aussi fortement mobilisés derrière les enseignants et ont décidé l'occupation tournante des écoles.
Le soutien du maire d'Amiens
Samedi après-midi, à une semaine du 1 er tour des régionales, il y avait aussi des politiques dans le cortège. Christophe Porquier, par exemple, tête de liste Europe écologie. Ou encore Thierry Aury, tête de liste du Front de gauche. Le maire d'Amiens, Gilles Demailly, s'est lui emparé d'un porte-voix pour dire son soutien au mouvement de grogne. « Votre combat, nous le partageons », a-t-il lancé. La Ville a déjà voté deux vœux de protestation contre la baisse des moyens à la rentrée. L'inspection académique prévoit en effet de fermer 11 classes, dont 5 en ZEP.
Une nouvelle manifestation est prévue mercredi devant l'inspection académique, où une délégation d'Etouvie doit être reçue.
ESTELLE THIÉBAULT
3 commentaires
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique