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    Le Collectif<<Touche pas a mon école>>,quelques insntants

    avant sa rencontre avec l'Inspecteur d'Academie.

    Composition de la Délégation qui a accompagnée Francis Lec,conseiller général d'Amiens nord:

    Frédéric Andrieux,Mazia Caron,Marie-Laure Grédé,Yamina Kassrioui,Malik Kelkoula,Malika Miloub(Ecole-Schweitzer AetB),Djamel Belmiloud,Gozague Billard,Corrine Niquet(Ecole-Marivaux),Anne Dubosse,Eddy Mutel, Karine Tarrade(Ecole-Emile-Lessot)

    Avec le soutien des élus:

    • Francis LEC, 1er vice -president du conseil général de la somme,demande l'intervention du Prefet dans une lettre du 22 février 2010

    • Gérald MAISSE, vice président du conseil général de la somme,a soutenu les demandes du collectif devant le Comité Départemental de l'Education Nationale

    • Marion LEPRESLE,adjointe au Maire chargée de l'Education.

    • Thierry BONTé,vice président d'Amiens Métropole,délégué de la ville d'Amiens au conseil d'Ecole

    • Mohamed BOULAFRAD,conseiller municipal d'Amiens,

    • Jean-Pierre TETU,conseiller municipal d'Amiens.vice président du conseil général de la Somme

     


  • Mardi 14 Septembre 2010

    AMIENS Les parents de l'école Voltaire reçus demain par le recteur

    Les parents d'élèves mobilisés étaient présents hier pour l'entrée des enfants en classe, avant de se réunir en assemblée générale.

    Les parents d'élèves mobilisés étaient présents hier pour l'entrée des enfants en classe, avant de se réunir en assemblée générale.

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    Les parents d'élèves de l'école Voltaire se sont retrouvés plus calmement hier matin lors de leur assemblée générale. Rejoints par le conseiller général Francis Lec, ils ont établi leur plan de bataille.

    Et le blocage de l'inspection d'académie vendredi soir, après le refus de l'inspecteur de recevoir parents et élus, ne pourrait être qu'un échauffement. « Si le recteur refuse de nous recevoir, on bloque l'académie », prévenait déjà Thierry Bonnaz, parent délégué. Finalement, la réponse est arrivée rapidement dans la matinée. Ils seront reçus mercredi à 17 heures par le recteur.

    C'est donc demain après-midi que parents et élus opposeront leurs arguments à ceux de l'Education nationale.

    Car l'inspecteur d'académie pointe déjà la trentaine d'élève en moins à l'école. Ainsi que la moyenne de 18,5 élèves par classe de l'école, qui est une des plus faibles de la ville. Ce à quoi Thierry Bonnaz répond aussi par des chiffres : 46 élèves de CP devraient venir l'année prochaine des maternelles Fafet et Voltaire.

    « Alors si c'est pour en fermer une cette année et en rouvrir l'année prochaine... » Les parents espèrent donc gagner un poste de vacataire qui maintiendrait la classe ouverte.

    Lors du tour de table, les parents ont aussi profité de la présence de Luc Fontaine, adjoint des écoles pour pointer les soucis le midi. Désormais, l'école Voltaire est sous surveillance rapprochée.


    1 commentaire

  • d'après mes sources bien informée les représentants de l'École voltaire ainsi que Mr Francis-Lec seront reçus

    mercredi 15 Septembre 2010  a 17h00 par le recteur ..

     Le Collectif  Touche pas à mon école ne manqueras pas de vous tenir informez du contenus de cet discutions .........

    les personnes au pouvoir quelle qu'elle  soit  non de pouvoir que celui qu'ont leur donne


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  • Bonjour, 
    
    un soucis technique a effectivement privé nos lecteurs de la page 13 de ce 
    samedi. 
    La page en question et l'article auquel vous faites référence ont été publiés 
    dans notre édition de ce dimanche. 
    Avec toutes nos excuses. 
    Cordialement. 
    
    -----Message d'origine-----
    De : GOSSELIN Valerie 
    Envoyé : lundi 13 septembre 2010 09:53
    À : GRAND AMIENS
    Objet : TR: fermeture de classe amiens nord
    
    

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  • Lundi 13 Septembre 2010

    AMIENS Reprise du bras de fer ce matin à l'école Voltaire

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    Ils sont sur le pied de guerre. Ce matin à 8 h 15, les parents de l'école Voltaire occuperont à nouveau le terrain pour obtenir l'annulation d'une fermeture de classe, annoncée en milieu de semaine dernière.

    Leur détermination sera d'ailleurs visible depuis la rue. Samedi et hier, ils ont confectionné des banderoles criant leur colère. Elles ont été posées hier en fin de journée. « On veut montrer à l'inspection académique qu'on ne se laisse pas faire. Et nous voulons que les gens qui passent sur le rond-point à côté de l'école, voient ce qu'il se passe », expliquent en chœur plusieurs parents.

    Cette façon d'attirer l'attention vise aussi à susciter la solidarité. Déjà soutenus par les élus, les parents d'élèves de Voltaire en appellent d'une certaine façon à l'ensemble de la Cité amiénoise.

    Car leur combat pourrait devenir, un jour, celui de tout un chacun. Ce qu'illustre une jeune maman lorsqu'elle lance : « Fermer une classe aujourd'hui ça veut dire quoi ? Que les enfants seront plus nombreux ? C'est ça la qualité de l'enseignement ? Ce n'est pas bon pour les enfants. Et les années suivantes ? Il se passera quoi ? On ferme d'autres classes ? »

    La balle se trouve clairement dans le camp de l'Éducation nationale. Après avoir investi l'inspection académique vendredi soir jusque 21 heures, les parents en colère espèrent une solution acceptable.

    Tout repose désormais sur la marge de manœuvre dont disposent l'inspecteur d'académie et le recteur, pour désamorcer le conflit.


    2 commentaires
  • AMIENS École Voltaire : la guerre des nerfs

    mobilisation des parents d'éléves et syndicat

    Parents d'élèves et élus ont occupé hier jusqu'à 21 heures les locaux de l'Inspection d'académie.

     

    Après l'annonce mercredi d'une fermeture de classe, des parents d'élèves ont occupé hier soir l'Inspection d'académie. Ils ont décidé vers 21 heures de suspendre leur mouvement jusque lundi.

    Dans cette guerre des nerfs qui aura duré presque quatre heures, les cinq parents d'élèves de l'école Voltaire, dans le quartier Amiens Nord, n'auront rien lâché. 

    Convoqués hier à 17 h 30 à l'Inspection d'académie pour une rencontre qu'ils avaient fermement réclamée jeudi matin après l'annonce la veille de la fermeture d'une classe, ils n'ont finalement pas été reçus.

    Motif : l'Inspecteur d'académie, Claude Legrand, avait émis le souhait de d'abaord rencontrer les deux élus présents à leurs côtés, Francis Lec (vice-président du conseil général et vice-président d'Amiens Métropole) ainsi que Bernard Delmotte (conseiller délégué au quartier Nord), avant de recevoir les parents d'élèves.

    Un « deal » qui a provoqué la colère des parents, attendant depuis vingt minutes d'être reçus. « C'est tous ensemble ou personne ! » Lâche ainsi Thierry Bonnaz, parent d'élève délégué élu l'an passé.

    « S'il ne nous reçoit pas ensemble, nous ne sortirons pas d'ici, c'est très clair ! » Francis Lec acquiesce en regardant le chef de cabinet venu porter le message : « Dites à Monsieur l'Inspecteur que nous refusons cette proposition, nous n'avons rien à leur cacher. »

    « Pour eux, on est moins que rien ! »

    17 h 50. Parents d'élèves et élus ont pris place sur des sièges, décidés à ne pas quitter les lieux avant d'avoir obtenu satisfaction. « Ils veulent nous diviser pour mieux régner. En plus, comme nous sommes à leurs yeux de petites gens, ils se permettent de nous faire attendre. S'ils avaient convoqué des parents du quartier Amiens sud, ce serait différent : l'inspecteur serait déjà descendu depuis longtemps », fulmine Frédéric Andrieux, membre de l'Association Touche pas à mon école, venu en soutien. « Oui mais là c'est Voltaire, on est moins que rien », enrage Delphine Dheilly, parent d'élève.

    18 h 10. On frôle l'incident diplomatique. Le chef de cabinet redescend, un courrier de l'inspecteur d'académie à la main. Il propose de recevoir les parents d'élèves immédiatement. De leur côté, les deux élus sont invités à se rendre au rectorat. Thierry Bonnaz explose. « Mais on nous prend vraiment pour des imbéciles ! On bloque le site ! » Les esprits s'échauffent : « S'il faut ramener des chaînes pour bloquer les portes on le fera ! » Promet l'un d'eux.

    18 h 20. Le chef de cabinet est parti porter le message à sa hiérarchie. Le gardien a l'ordre de ne plus faire entrer personne dans l'établissement.

    18 h 35. L'inspecteur d'académie, Claude Legrand, descend pour rencontrer la délégation. Parents d'élèves et élus entament une discussion sur la suppression de poste qui sera vite écourtée. « Il n'est pas question de commencer à débattre ce soir. Je vous ai fait une proposition que vous avez refusée. Je vous demande de prendre le temps de réfléchir ce week-end à une nouvelle rencontre, dans les mêmes conditions, qui pourrait être envisagée dès lundi matin », leur indique Claude Legrand, avant de clore la discussion.

    18 h 45. La colère gronde et les parents d'élèves tentent de s'organiser : « S'il le faut, nous partirons ce soir et reviendrons dès lundi matin plus nombreux. »

    20 h 30. L'inspecteur indique dans un communiqué qu'il a proposé à Francis Lec « de reprendre contact lundi 13 septembre pour envisager les modalités d'une nouvelle audience ». Parents d'élèves et élus occupent les lieux jusqu'à 21 heures. Ils décident finalement de suspendre leur action jusque lundi matin. Une réunion avec d'autres parents d'élèves qui n'ont pas pu être présents hier est déjà prévue lundi à 8 h 15.

     

    TÉRÉZINHA DIAS


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